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La féminité exaltée, partie 3/20

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Je vais maintenant parler un peu de moi pour vous assurer que je n’ai pas été seulement Bodhisattva Quan Yin Au cours de nombreuses autres vies, je suis également devenue tous les Bouddhas féminins. Comme Prajñāpāramitā Devī. C’est l’une de mes réincarnations. Cela signifie « la Déesse de la Perfection de la Sagesse ». Mais cette Déesse est aussi une Haute Déesse, c’est donc une sorte de Bouddha féminin. Au Tibet, ils L’appelaient à l’époque le Bouddha féminin parce qu’Elle était si sage et qu’Elle symbolisait l’incarnation de Prajñāpāramitā, c’est-à-dire la Perfection, la Sagesse la plus élevée. Prajñāpāramitā est la plus haute Sagesse reconnue et recherchée par tous les croyants du Mahayana et du Vajrayana, qui mènera à la Bouddhéité. Si cette personne possède déjà cette source de Sagesse suprême, alors cette personne est déjà un Bouddha.

Je me souviens d’une autre fois. Dans le bouddhisme tibétain, il y a de nombreuses Bouddhas féminins. Des Bodhisattvas aussi, bien sûr. Je ne parle ici que des femmes Bouddhas. Une autre fois, je me suis réincarnée en Bouddha Vajrayoginī. Ce Bouddha était une figure très importante du bouddhisme. Elle était particulièrement vénérée dans le bouddhisme tibétain. Dans le Vajrayana, Elle est considérée comme une femme Bouddha et une ḍākiṇī (Déité féminine). Ainsi, Vajrayoginī est souvent décrite avec l’épithète sarvabuddhaḍākiṇī, qui signifie « l’Essence de tous les Bouddhas ». Je n’énumère donc simplement que ces deux fois. Je ne peux pas lister un trop grand nombre de fois. Mais il y a aussi de nombreuses autres Femmes Bouddhas.

Mais il ne s’agit pas ici d’énumérer toutes les fois où je suis apparue en tant que Bouddhas féminins sur cette planète et sur d’autres planètes également. Beaucoup trop pour s’en souvenir, même pour mon mental humain limité. Pour me souvenir de tout cela, il faudrait que je médite très, très, très longtemps, et que je l’écrive, si je me souviens de revenir. Le fait que l’âme connaisse certaines choses ne signifie pas que le mental puisse également les connaître ou puisse s’en souvenir quand il revient. Lorsque l’âme revient de la méditation – c’est ce que je veux dire.

L’histoire, par exemple, du bouddhisme, l’histoire de cette religion rapporte que telle ou telle femme était un Bouddha ou est devenue un Bouddha. C’est donc pour qu’ils le révèrent et l’utilisent comme un symbole de l’illumination, de la sagesse, de la compassion, de l’amour, afin de leur rappeler de continuer à pratiquer et de continuer à Les vénérer, pour demander Leur protection, Leur aide pour élever leur conscience. Tout comme les gens vénèrent Bouddha Shakyamuni, ou Bouddha Amitābha, ou Bodhisattva Quan Yin. Mais en Âu Lạc (Vietnam), on appelle Bodhisattva Quan Yin également « Bouddha Quan Yin féminin » : Phật Bà Quan Âm. Les bouddhistes l’appellent Phật Bà Quan Âm, cela signifie « Dame Bouddha, Quan Yin ». C’est donc la chose dont vous devriez vous souvenir, qu’en tant que femme, vous pouvez aussi devenir Bouddha. On a eu maintes femmes Bouddhas dans d’autres générations et d’autres vies, et nous Les avons aussi de nos jours.

Mais la plupart des femmes sont timides, très timides. Elles ne veulent pas en parler. Très timides. Même moi, j’étais très timide. Alors quand Dieu m’a dit de le faire, j’ai redemandé trois fois. Je ne peux pas demander plus de trois fois parce que cela signifie que je doute des paroles de Dieu et qu’il se pourrait que je ne le fasse pas. Mais j’étais aussi un peu réticente. Mais je suis maintenant déterminée à poursuivre mon travail. J’ai donc besoin de tout le soutien des Cieux. J’ai besoin que tous ceux qui peuvent le savoir, que les humains le sachent pour se connecter à moi afin que je puisse sauver leur âme. Et aussi, grâce à leur mode de vie repentant et vertueux, l’énergie du monde deviendra moins meurtrière, et nous pourrons sauver plus d’êtres humains, et nous pourrons sauver cette planète et la rendre à nouveau entière, la rendre plus géniale que jamais. C’est pourquoi je dois revendiquer officiellement ma position de Bouddha, afin que tous les êtres l’acceptent, le sachent et agissent en conséquence.

Même le Roi Mara est aussi venu me rendre hommage. Tant de Rois – j’ai écrit de nombreuses pages, Leurs positions et Leurs titres. Mais à l’époque, je n’étais pas autorisée à vous parler d’Eux tous. Je n’en ai cité que quelques-uns, mais plus tard, j’ai été informée qu’il ne fallait pas le faire. Il n’est pas toujours permis de parler des choses du Ciel dans le monde humain, parce que les humains peuvent en faire des pensées négatives et cela n’aide pas. Ça pourrait aussi insérer certaines choses négatives dans ma mission et sur la volonté de tous les Rois et les Dieusses du Ciel d’aider l’humanité. Si nous doutons toujours d’Eux, si nous Les calomnions ou si nous ne croyons pas en Eux, alors cela crée aussi des difficultés pour [empêcher] les Rois et Dieusses du Ciel d’aider les humains. Cela peut aussi Les décourager et Les rendre réticents.

J’espère donc simplement que les humains changeront, changeront davantage. Ils changent, mais trop lentement, trop lentement, et ils ne savent pas que la mort arrive. Oh, Dieu. Oh Dieu. Vous ne le savez pas, mais certains humains le savent. Certains humains ont vraiment une capacité de clairvoyance ou de clairaudience. Ils peuvent voir, ils peuvent entendre le Ciel parler de cela. Ils peuvent avoir des visions de l’avenir. Certains d’entre eux voient aussi quelque chose, et certains le disent même sur Internet. Certains, pas tous. Parce que certains voyants ne se soucient pas beaucoup d’être célèbres ou de le dire aux humains, parce qu’ils savent aussi qu’en disant aux humains que vous savez ceci, que vous savez cela du Ciel, vous n’obtenez probablement rien en retour – un travail ingrat – et vous pourriez même être roués de coups pour cela.

J’ai vu quelques cas sur Internet. Ou tout au moins, vous serez battu mentalement et en termes de stress. Ils vous feront vous sentir tellement affaiblis nerveusement, mentalement et toutes sortes de choses. Ce n’est pas tout le monde qui vous remerciera La plupart du temps, ils diront que vous êtes faux, que vous voulez juste être célèbre et toutes ces choses. Surtout si vous allez à l’encontre de la majorité. Si vous êtes un petit nombre comparé à ceux qui croient le contraire de ce que vous croyez ou de ce que vous leur avez dit, ou de ce que vous avez vu dans votre vision, parce qu’ils ne voient rien. Ils ne croient pas ce que vous dites lorsqu’ils ne voient rien. Même à l’époque du Seigneur Jésus, Il a fait beaucoup de miracles et a guéri des gens de la mort et de la maladie et tout ça, et ils L’ont quand même tué, ils L’ont crucifié. La pire des punitions, ne pas mourir immédiatement, mais d’une manière atroce comme cela. Oh Dieu, non.

Dans le Sutra du Lotus... laissez-moi essayer de me souvenir un peu. J’ai lu toutes ces choses du bouddhisme il y a 50 ans ou plus ! Quand j’étais jeune, et avant que je n’aille dans l’Himalaya pour obtenir le dernier stade de l’illumination dans cette vie, je les lisais davantage quand j’étais plus jeune, et je ne me souviens plus très bien de ces choses d’il y a plus de 50 ans, avant que je ne prenne ce travail pour vous. Je vais parler du Sutra du Lotus. Pour l’instant, Simplement, avant que je n’oublie. Le Bouddha a dix titres. L’un d’entre eux est « Arhat ». Arhat : « digne d’offrandes ». Ainsi, puisque l’épouse de Mahākāśyapa est devenue une Arhat, Elle est aussi digne d’offrandes. Il en va de même pour les autres femmes Bouddhas ou Bodhisattvas.

Le Bouddha n’a donc jamais dit que les femmes ne pouvaient pas devenir des Bouddhas. Peut-être qu’une femme normale, une femme ordinaire qui ne se repent pas, qui n’a pas un bon Maître pour lui enseigner la bonne méthode, et les protéger et s’occuper d’elles jusqu’à ce qu’elles deviennent complètement éveillées, ou au moins les emmener là-haut sur la Terre du Bouddha pour continuer à pratiquer jusqu’à ce qu’elles atteignent la Bouddhéité – peut-être la femme humaine ordinaire. Mais une femme Bouddha, Elles ne sont ni une femme, ni un homme. Elles se manifestent n’importe où, n’importe quand, selon la nécessité d’aider les êtres sensibles. Imaginez que le Bouddha S’attache à une forme masculine et dise : « Non, je dois être un homme afin de conserver mon statut du Bouddha. Je dois être un homme pour pouvoir devenir un Bouddha. » Alors Il n’est plus un Bouddha ! Il fait toujours la distinction entre la forme, la forme extérieure, dont il est dit dans le Sutra du Diamant : « Si vous êtes attaché à la forme, à la forme extérieure, à la lumière extérieure et même au son extérieur, comme la musique extérieure ou simplement la récitation extérieure de sutras et tout cela, alors vous ne pouvez pas atteindre la Bouddhéité. »

Mais la Méthode Quan Yin que nous pratiquons, c’est la Lumière (Céleste) intérieure et le Son (Céleste) intérieur, venant directement du Ciel, de la Source de toutes les Sources. Sans cela, sans cette Source de Lumière et de Son (Célestes intérieurs), nous pourrions difficilement atteindre où que ce soit si ce n’est courir dans le cercle de la vie et de la mort, encore et encore et encore, nous réincarnant dans les six voies d’existence physique – comme devenir des humains, devenir des animaux-personnes, et peut-être même des démons et des fantômes, et peut-être, si nous avons de la chance, devenir l’un des Rois Célestes ou des Rois Démons, des Rois Fantômes, etc. Ainsi, la Méthode Quan Yin – la Méthode sans méthode, celle qui utilise l’âme pour transmettre à l’âme par la Grâce de Dieu, par tout le Pouvoir de Maître – est le moyen de nous libérer et de devenir nous-mêmes un Bouddha en une vie ou éventuellement. Au moins libéré dans cette vie-ci, si le pratiquant adhère à l’enseignement du Maître et fait la méditation, et suit la discipline.

Photo Caption: Protégé avec amour, en sortira magnifiquement.

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