Rien n'est caché. Tout ce que vous avez dit restera dans l'air, restera dans l'eau, restera dans les arbres, restera sur l'herbe, sur le sol, partout. (Ouah !) Peut-être qu'un jour, les scientifiques pourront l'attraper. (Ouah !) Alors nous pourrons entendre Jésus nous prêcher personnellement. (Incroyable.) Ou nous pourrons entendre le discours du Bouddha dans Sa langue que nous ne comprenons pas.
( En ce qui concerne tout le travail que Maître fait pour Supreme Master TV, l'équipe pourrait-elle faire quelque chose de plus pour alléger la charge de travail du Maître ? ) Oh, vous aidez beaucoup à présent, mieux qu'avant. Quand j'ai commencé, c'était tellement chaotique. Je ne voyais jamais le soleil pendant longtemps. Travaillant jour et nuit. Et même si j’étais fatiguée, je ne pouvais pas manger, pas dormir. Mais maintenant, après deux ou trois ans d'entraînement, vous y arrivez. Le style est meilleur. Si vous regardez au début, quand je n'étais pas encore là (Oui.) vous savez de quoi je parle, comme une télévision comateuse. Je me demande pourquoi nous n'avons pas simplement fait une radio, parce que c'était assez bien pour une radio. Même pas, même pas. Le gars qui lisait les informations lisait comme s'il nourrissait son bébé avec le biberon, puis lisait en même temps alors qu'un œil était fermé ou les yeux à moitié ouverts. Regardez au début, le premier jour. Je ne peux pas y croire ! Je n’avais pas le temps de regarder à ce moment-là. Je pensais que vous saviez déjà quoi faire et ils m'ont assuré : « Oh, cette sœur a déjà été coordinatrice de l’ancienne chaîne de télé à Los Angeles, et cet homme et ceci ... » Ils utilisent leurs propres poulets, leurs propres travailleurs. « Déjà ceci et cela, a déjà fait ceci et cela, a été là ... » Et donc, je me suis dit : « Bien. Alors, je n'ai même pas besoin de faire quoi que ce soit. » Et jusqu'à ce que je vérifie. Oh mon Dieu ! Je me suis presque évanouie. (Oh.) Mon Dieu. C'est comme ça que vous mettez mon titre à la télé ? Supreme Master Television et comateux comme ça ? Ensuite, j'ai dû commencer à travailler, mais au début, c'était tellement chaotique et désorganisé que j'ai dû travailler jour et nuit pour en faire ce qu’elle est aujourd'hui.
Avant, je devais absolument tout faire : Même choisir les présentateurs, écrire tous les commentaires et écrire beaucoup de choses. Maintenant, même de nos jours, vous participez parfois pour m'aider à en écrire une partie. (Oui.) Quand j'oublie, alors vous écrivez une partie. De temps en temps. Très rarement, j'oublie, mais parfois je suis juste trop fatiguée ou trop prise intérieurement et extérieurement. À l'intérieur même plus occupée qu'à l'extérieur. L’extérieur, c'est du gâteau. Même alors, ça me fatigue, bien sûr.
Je ne suis pas habituée à l'ordinateur et tout ça. Mes yeux deviennent moins vifs maintenant. Avant, je n'avais pas besoin de porter de lunettes pour regarder les sous-titres. Et maintenant, je dois en porter. (Oh, Maître.) Avant, je ne les utilisais que pour lire les scripts parce que le script est imprimé plus petit. Et maintenant, je dois les porter, même pour regarder les sous-titres sur l’ordinateur, et regarder les images pour les rendre plus nettes. Et parfois, j’ai des maux de tête. Même si on a des mesures préventives, mais je suis tout de même trop sensible, surtout en retraite. Et ils me font même travailler. Mais je ne peux pas ne pas travailler pour Supreme Master Television. Je ne peux pas vous laisser faire tout ça. Je l'ai déjà vu plusieurs fois. Ça n'a pas marché. (Oui Maître.) Je veux dire peut-être que ça marche un jour, ça ne marche pas un autre. Un jour, ça marche, deux jours, ça ne marche pas. Tant d'erreurs et tant de choses. Les styles et les… Encore récemment, vous avez vu combien d'erreurs j'ai corrigées ? (Oui Maître.) Même vous, les Américaines, vous écrivez comme ça ? Grammaticalement, pas logiquement. Parfois je peux le voir. Mais je ne vous en veux pas, car parfois nous avons beaucoup de travail. Et vous ne pouvez tout simplement pas faire attention à tout. Vous avez fait de votre mieux, je sais. Et c'est un travail difficile. (Merci Maître.) C'est un travail vraiment, vraiment dur. Même pour taper à l’ordinateur, cela fatigue parfois les mains. (Oui Maître.) Si vous le faites toute la journée, non ? Et aussi vos doigts ressentent quelque chose. Ça fait mal ou pas ? (Si on y est habitués, nos doigts vont bien.) Oh vraiment ? Comment se fait-il que mes doigts me fassent mal quand j'utilise l'ordinateur ?
Je dois utiliser l'ordinateur à présent. J'avais l'habitude d’écrire à la main pour corriger. Mais c'était si mauvais, parce que je renvoyais mes écrits et ils les tapaient, mais ils le tapaient mal. Je devais le revérifier. (Oh.) Avant de l'envoyer, c'est comme si je travaillais le double. (Oui.) Et beaucoup de travail et de travailler doublement comme ça, comment une personne peut-elle s'occuper de toutes les émissions et travailler doublement ? Même si je ne corrige pas certaines émissions, mais je dois d'abord la voir. Je dois la lire pour la connaître, afin de savoir si je dois corriger quelque part. (Oui Maître.) Cela prend tout de même du temps. Corriger et écrire, passer plus de temps, mais même pas, tout de même nécessaire. Et toutes les lettres des Prix, je dois les envoyer, je dois les lire, je dois les corriger. Parce que parfois, je corrigeais déjà, les renvoyais et ils faisaient une autre erreur. Je dois corriger encore et encore. Mais de nos jours, c'est moins parce que beaucoup d'entre vous se sont déjà beaucoup améliorés. (Oui Maître.) Et vous êtes déjà habitués au système et vous connaissez. Et maintenant, j'utilise l'ordinateur pour corriger. Je pensais que je ne pourrais jamais le faire parce que je n’avais jamais su déplacer la souris auparavant. Vous savez, le curseur ? (Oui Maître.) Je ne pouvais pas le déplacer. Je déplaçais et je ne pouvais le voir nulle part. Je disais : « Où, où, où ? Où es-tu allé ? Reviens ici ! » Oh, parfois il ne revenait pas pendant longtemps, et je bougeai frénétiquement, il ne revenait pas. Je disais : « Toi, reviens à présent ! » Parfois, il semble qu'il m'écoute, mais l'ordinateur a son propre esprit. Il ne m'écoute pas. Parfois, il semble que je respire, et puis ça change. Je ne pouvais plus retourner dans cette zone-là ou ça le rendait fou. Aujourd'hui encore, j'ai dû demander à quelqu'un de le réparer. Dieu merci. Mais j’ai appris et je le fais maintenant par ordinateur. Avant, je le faisais à la main. Et à la main, c'est très dépendant. Et je n'aime pas la dépendance. (Je comprends. Oui Maître.) Parce que je devais écrire et quelqu'un devait venir le récupérer et ensuite le rapporter à cette personne et ensuite je devais attendre. Et puis un autre vient et un autre vient toute la journée, comme des gens qui vont et viennent comme un yoyo. Parce que certains sont urgents, (Oui Maître.) et il faut corriger encore et encore et encore. Et parfois, je suis aussi très fatiguée, mentalement et physiquement, et je néglige certains domaines. Et plus tard, je regarde encore, et je corrige encore. Ou je fais quelques ajouts et cela va et vient, va et vient, beaucoup. Et c'est aussi très fatigant pour le facteur. Pour le disciple facteur. Et je n'aime pas beaucoup que les gens montent et descendent, montent et descendent, entrent et sortent tout le temps, à l'intérieur de mon champ magnétique. (Oui.) Ça me cause aussi des perturbations, pour ma concentration. C’est pourquoi parfois je ne peux pas bien travailler, et je dois corriger encore et encore. Vous le savez. (Oui.) Certains d'entre vous qui travaillent près de moi le savent.
Et j'ai demandé il y a longtemps, j'ai demandé à plusieurs personnes : « Pouvez-vous m'apprendre à le faire ? Dites-moi comment faire pour ne pas avoir à écrire à la main, et ensuite vous n'aurez pas à aller et venir sans cesse ou d’autres frères et sœurs n’auront pas besoin d’aller et venir tout le temps. » Ils ont dit : « Non Maître. C'est très compliqué. » Et puis une autre personne a dit : « Oh, c'est très dur, très difficile. » Et puis l'autre a dit : « Vous êtes trop occupée, Maître. Vous ne pouvez pas. Cela fait trop pour Vous d’apprendre cela. » Et j’ai pensé que c’était le cas. Je pensais que je n'avais jamais travaillé sur l’ordinateur auparavant sauf [quand] vous l’aviez déjà mis sur USB et je l’insérais pour voir, comme regarder les vidéos. Sinon, je n'aurais rien pu faire avant. Je pouvais taper sur une machine à écrire électrique, c'est tout. Donc, au début, j'ai dit : « Ok, au moins, achetez-moi une machine à écrire électrique. » Je taperais dessus, comme ça, ce sera plus clair que l'écriture manuscrite. Mais je tapais avec deux doigts seulement. Ou même un doigt, un et demi. Ça prenait si longtemps, si long aussi. Et plus tard, j'ai dit : « Oh, je dois apprendre l’ordinateur. Je le dois. » Et puis j'ai demandé à un autre de vos frères, et il m'a dit quoi faire, il a juste écrit quelques instructions, poussé quelques boutons et c’est fait. Alors maintenant je fais ça. J’en suis très contente. (Dieu merci. Merveilleux.) C'est encore très lent, mais c'est mieux que si je devais vérifier à nouveau, en double. (Oui Maître.) Relire ma propre écriture et être fâchée parfois parce que certains mots sont vraiment très clairs. Certains mots ne le sont peut-être pas, mais certains sont très clairs et ils tapent tout de même des erreurs parce qu'ils pensent différemment. Ils pensent que c'est ce que le Maître voulait dire. Ou peut-être qu'ils sont trop distraits par, je ne sais pas, les filles, garçons, ou les poulets ou peu importe ce qui se trouve devant eux à ce moment-là. Qui sait ? Ou des poulettes. Ok. Alors maintenant, c'est plus sous contrôle maintenant. Je n’ai plus besoin que des gens courent autour de moi et entrent et sortent par mon portail ou ma porte. Ils ne peuvent pas entrer ; je ferme la porte tout le temps. Mais ils viennent tout de même près de mon portail, près de ma porte – déjà quelque chose de mal. Je n’aime pas ça. (Oui Maître.) Surtout quand je suis en retraite. C'est déjà assez grave qu’il me faille déjà travailler tout en étant retraite et épuisant mon énergie comme ça déjà. Je fais de mon mieux. (Merci Maître.) Tant que mon corps fonctionne. Parfois, il ne fonctionne pas immédiatement quand mon âme n'est pas encore… et je dois me forcer à travailler et c'est là que c'est dur. Je tiens le téléphone et le stylo, ils tombent sans arrêt de ma main, (Ouah.) comme si je n'avais pas de prise. Rien d’anormal chez moi, je suis en bonne santé. (Oui merci dieu.) C'est juste que plus on s’élève, parfois c'est comme ça. (Oui Maître.) Le corps ne fonctionne pas de manière aussi alerte que lorsque l'âme est autour. (Oui Maître.)
Bien. D'autres questions ? (Plus de questions, Maître.) C'est bien ! Aucune question est une bonne question. ( Merci pour Votre temps. ) (Merci beaucoup, Maître.) Merci d'avoir posé des questions intelligentes. J'aime ça. Cela bénéficiera également à d'autres frères et sœurs. (Oui Maître). Et peut-être une ou deux personnes du monde à l'extérieur si elles ont même le temps de regarder, si elles s'en soucient. C'est un avantage. Même s'ils ne le savent pas, s'ils ne regardent pas, il y a aussi l’énergie. Rien n'est caché. Tout ce que vous avez dit restera dans l'air, restera dans l'eau, restera dans les arbres, restera sur l'herbe, sur le sol, partout. (Ouah !) Peut-être qu'un jour, les scientifiques pourront l'attraper. (Ouah !) Alors nous pourrons entendre Jésus nous prêcher personnellement. (Incroyable.) Ou nous pourrons entendre le discours du Bouddha dans Sa langue que nous ne comprenons pas. (Ouah !) Mais qui sait ? Peut-être que nous le ferons. Peut-être qu’à cette époque-là, les êtres humains auront suffisamment évolué pour savoir tout cela, pour comprendre les enseignements des Maîtres. Alors je serai libre pour toujours. (Ouah !) Alors je n'aurai plus besoin de revenir. Peut-être que je ne reviendrai plus cette fois. C'est trop difficile (Oui Maître.) d’enseigner aux gens. Et même s'ils vous font du mal, ils obtiennent un mauvais karma. Je dois me cacher partout, vous ne compreniez pas. Je suis plus audacieuse qu'avant. Mais avec vous, j’étais plus détendue et inspirée pour parler. Avant, partout où j’allais, je portais juste des vêtements très normaux, comme tout le monde, pour ne pas me démarquer. (Oui Maître.) Je parle de petits copains, de petites copines, de films. À propos de, « Oh, l'inflation est terrible ! » À propos du magasin : « Pourquoi vendent-ils pareille chose ? »
Très bien alors. C'est bien. J'ai également terminé mon travail. Aujourd'hui, il n'y a pas beaucoup de correction à faire et pas beaucoup d'écriture. Hier, beaucoup. (Merci.) Parce que je devais écrire ces choses pour vous, (Oui Maître.) et aussi en corriger. Je suis reconnaissante quand certains jours il y a moins de travail à faire. C'est que vous vous êtes améliorés intellectuellement et spirituellement. Vous pensez plus clairement, moins de perturbation, moins de déchets dans votre cerveau. (Oui Maître.) Moins d'obstruction du pouvoir négatif, et je suis très heureuse. Alors, merci à vous tous de l’avoir amélioré. (Merci Maître. Merci Maître pour les bénédictions du Maître.) C'est mieux aussi que de nos jours, nous organisions davantage, comme les éditeurs juniors sont vérifiés par les éditeurs seniors, par exemple. Avant, je faisais tout moi-même, (Oh.) et c'était tellement, tellement. Je pensais ne pas savoir combien de temps je pourrais vivre. C'était si terrible. C'était si épuisant et si exténuant. (Oui.) Mais maintenant, on organise mieux, et tout le monde aide tout le monde. Pas comme avant. Maintenant, même les sous-titreurs aident à en éditer certains. (Oh oui.) Donc ça se passe mieux et c'est moins de stress pour tout le monde maintenant. Bien sûr, nous en avons perdu. Certains viennent et ont le mal du pays ou autre et sont partis. Ou l’un dit qu'il doit rentrer chez lui pour étudier. J’ai dit : « Oui, bien sûr, tu veux étudier l’anatomie des femmes. Non ? » Il a déjà presque 40 ans. (Oh non.) Et il a deux enfants. Divorcé, par exemple. Que veut-il étudier d'autre ? Non, il a dit qu'il devait retourner à l'école. Je pensais : « Oh, oui, bien sûr. » (Oh, ça alors.)
Alors rien de plus. Je vous souhaite bonne chance à tous. Et à quiconque écoute parmi vos frères et sœurs, bonne chance à tous. Et bonne chance à toutes les bonnes personnes à l'extérieur, à tous ceux qui écoutent. (Merci Maître. On souhaite bonne chance au Maître.) Que l'amour de Dieu soit ressenti tout le temps par votre cœur. Que la direction de Dieu soit tout le temps dans votre esprit, afin que vous fassiez toujours les bonnes choses et que vous profitiez aux autres. Amen. (Amen.)
Vous savez, je vous l'ai déjà dit, mais je tiens à le dire officiellement, que je suis vraiment très touchée et reconnaissante envers vous, les filles, pour votre présence, votre dévouement et votre volonté de travailler pour aider le monde, et personnellement bien sûr, pour m’aider dans mes idéaux. Je suis très impressionnée par votre point de vue et votre esprit idéalistes et je vous en suis très reconnaissante. Je veux juste vous dire, merci à toutes d'être ici, d’être avec moi. Je veux dire d’être avec nous sur cette planète en cette période de nécessité et de troubles. Que Dieu vous bénisse pour toujours. Je suis sûre que Dieu vous bénira pour toujours, mais c'est mon souhait pour vous toutes. Et aussi, bien sûr, je suis reconnaissante envers les garçons, qui travaillent également avec nous. Oui, c'est pareil. Il se trouve que j’ai parlé aujourd'hui aux garçons, donc je parle juste des filles, mais les garçons aussi, je suis profondément, très reconnaissante et que Dieu vous bénisse tous pour toujours et bénisse également les travailleurs de Supreme Master Television de quelque façon que ce soit, partout dans le monde. Mon amour est avec vous pour toujours que Dieu vous bénisse éternellement. Merci, merci, merci.
