Chercher
Français
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • اردو
  • Autres
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • اردو
  • Autres
Titre
Transcription
À suivre
 

Les chants, compositions, poésies et performances de Maître Suprême Ching Hai (végane), 24e partie d’une série

Détails
Télécharger Docx
Lire la suite
Toute séparation entraîne une angoisse déchirante. Tout départ, même si c’est pour être libéré de la réincarnation, ne peut pas empêcher l’amour et la nostalgie de ceux qui restent.

« Un Saint était retourné au Ciel La forêt fleurie se lamentait dans le vent d’automne Tu étais parti, aussi léger qu’une plume Quittant ce monde, avec toutes ses formes et illusions. »

Dans le poème « Sayonara », la poétesse Maître Suprême Ching Hai fait allusion au nom de plume du Très Vénérable Thích Mãn Giác, aussi appelé le poète Huyền Không, dans le vers « Quittant ce monde, avec toutes ses formes et illusions ».

Il a quitté ce lieu temporaire pour retourner dans l’étreinte du Tout Miséricordieux. Tout départ est source de tristesse pour ceux qui restent. Cependant, le départ de quelqu’un qui a vécu pour la Vérité et le monde, laissera sans aucun doute un exemple brillant aux générations futures. Ce poème reflète le cœur aimant du Maître Suprême Ching Hai. Il est respectueusement dédié au Maître Zen Mãn Giác, et exprime la confiance partagée par deux âmes ayant les mêmes idéaux : délivrer les êtres sensibles et servir le monde.

À la mémoire du Très Vénérable Thích Mãn Giác

Un Saint était retourné au Ciel La forêt fleurie se lamentait dans le vent d’automne Tu étais parti, « aussi léger qu’une plume » Quittant ce monde, avec toutes ses formes et illusions Se remémorant ton cœur bon, accueillant et généreux Comme tu avais voyagé dans différents pays, insouciant ! Le chant du sutra imprégnait encore l’air de son parfum, mais la soutane safranée flottant au vent n’était plus ! Maintenant que tu es parti, les fleurs ont retiré leurs teintes vives Le temple d’antan en réflexion, s’incline en silence Tu es parti rejoindre le Vrai Soi Un royaume aussi précieux que les Udumbaras s’est manifesté à partir d’un esprit désintéressé

Avec toutes les exigences quotidiennes à satisfaire, les obligations morales à remplir, les normes sociales à respecter et les êtres chers à satisfaire, la vie peut parfois sembler pleine de défis. Et lorsque les catastrophes et les injustices s’abattent sur vous pour couronner le tout, ce sera beaucoup trop à supporter. Alors vous crierez fort, vous voudrez fuir tout cela, espérant enfin trouver un monde plus paisible, plus insouciant et plus heureux. « Je ne peux pas vivre dans ce monde confiné, Où les gens saisissent et contrôlent ! Je veux aller au-delà et au-dessus De toutes ces servitudes et limites ! Je dois respirer L’air parfumé du paradis. »

Je ne peux vivre dans ce monde confiné, Où les gens saisissent et contrôlent ! Je veux aller au-delà et au-dessus De toutes ces servitudes et limites ! Je dois respirer L’air parfumé du paradis. Je dois aller Là où le vent souffle doucement

Laissez-moi vivre, Laissez-moi grandir. Laissez-moi être MOI ! Même si c’est différent, Même si cela vous semble étrange. Mais ma vie m’appartient. Je vivrai comme je l’entends !

Si vous ne pouvez pas offrir la paix, n’agitez pas la mer orageuse. Laissez-moi être libre ! Je volerai avec l’oiseau, Je me lèverai avec le soleil, Je rêverai à la surface de la lune Et j’écrirai des poèmes pour les pétales des orchidées sauvages.

Je chanterai sous la pluie fraîche du premier jour de l’été, Je grimperai aux arbres de la forêt et flotterai sur les vagues du grand océan, Je peindrai les tendres brins d’herbe du printemps ! Je gambaderai pieds nus avec le papillon des champs, Je jouerai à cache-cache avec le poisson de la rivière. Je chanterai des chansons folkloriques tard dans la nuit de l’automne rafraîchissant.

Je me promènerai sur le sentier forestier convivial ! Je profiterai des fruits mûrs du jardin succulent, Ils tomberont de l’arbre rien que pour moi ! Je vivrai une vie débordant de joie et de bonheur Laissant derrière moi l’injustice et la calomnie ! Je ferai les choses, Que vous jugez folles et insensées. Mais j’aimerai tellement cela !

Laissez-moi exister Laissez-moi respirer ! Oh Ciel, Oh Dieu Entendez-moi ! Oh tous les Anges, Soulevez-moi !

La vie comprend beaucoup de chagrin dans toute sa réalité. On ne peut que rêver pour apaiser un cœur qui a traversé des cieux orageux et des souvenirs embrumés. « La nuit dernière, j’ai rêvé de laisser la poussière de la vie derrière moi. D’un pied léger vers le Paradis, Insouciante pour une fois » De la profondeur de l’illusion, on se libère des contraintes de la vie pour retrouver la légèreté des nuages et du vent insouciants.

La nuit dernière, j’ai rêvé de draps et d’oreillers reposants. De bois de santal parfumé flottant dans l’air. Le temps où nous étions encore ensemble était sincère. Quand notre amour était encore éternel. Ce soir, je suis rentrée à la maison. La pluie des montagnes ruisselle sans cesse. Les roues roulent sur le chemin solitaire. Les nuages pendent misérablement. La nuit dernière, j’ai rêvé que j’étais un cygne. S’élevant au-dessus des montagnes. Buvant dans la neige. Se baignant dans l’arc-en-ciel. Se sentant à nouveau libre.

Mon chéri ! Mon bien-aimé ! La rivière coule inlassablement... Rêve dans la nuit ! Ce soir, je suis rentrée à la maison. La pluie des montagnes ruisselle sans cesse. Les roues roulent sur le chemin solitaire. Les nuages pendent misérablement... Rêve dans la nuit.

Le monde n’est qu’une auberge où nous séjournons pour un temps ; accélérons pour atteindre un lieu de paix éternelle au sein de notre âme dans l’étreinte aimante de notre Père Miséricordieux et de notre Mère Bienveillante. « Allez, allez, allez vers le Père Allez, allez, allez au pays lointain Allez, allez, allez vers le Frère Allez, allez ensemble à la Maison... » Notre vraie maison est le Ciel, un royaume d’harmonie éternelle.

Allez, allez, allez, allez vers le futur Allez, allez, allez, allez à Shangri-la Allez, allez, allez, allez vers la Mère Allez, allez au-dessus des étoiles

Oh gloire, Paix et Harmonie Oh gloire, vœu exauçant Muni Oh gloire, la Maison des Maîtres Oh gloire, les Grands Frères Sages

Saluez, saluez, saluez, oh saluez les Héros Saluez, saluez, saluez, oh saluez les Anges

Allez, allez, allez vers le Père Allez, allez, allez au pays lointain Allez, allez, allez vers le Frère Allez, allez ensemble à la Maison...
Regarder la suite
Toutes les parties  (24/27)
Partager
Partager avec
Intégré
Démarrer à
Télécharger
Mobile
Mobile
iPhone
Android
Regarder dans le navigateur mobile
GO
GO
Prompt
OK
Appli
Scannez le code QR
ou choisissez le bon système à télécharger.
iPhone
Android